Une ado Kelsey raconte sa réduction mammaire

Kelsey raconte sa réduction mammaire : Dans cette époque, on constate qu’il y a toujours de nouvelles tendances qui surmontent dans les réseaux sociaux. Des phénomènes tels que Khabi Lame, ou encore le fameux « sac de winx » sont devenus très populaires en quelques jours. Kelsey à son compte Tiktok, ou elle a raconté son long périple pour effectuer une opération chirurgicale de réduction mammaire. Son parcours a été mis en avant par Brut. La réduction mammaire d’une tiktokeuse lève le tabou des difficultés dues à une forte poitrine.

Kelsey raconte sa réduction mammaire

La belle ado a partagé ce qu’elle a vécu avec ses abonnés sur TikTok, qui dépassent les 50K fans, où elle doit quelques fois faire face aux commentaires sexistes de quelques internautes. Malgré les déconforts physiques du début et les critiques, Kelsey ne regrette pas son choix. « Les cicatrices, c’est le cadet de vos soucis à ce stade car personne d’autre que vous ne peut les voir (…) je peux tout faire normalement maintenant », se réjouit-elle. Près de 44 000 opérations de réduction mammaires ont été pratiquées durant l’année de 2018.

Les confidences de Kelsey

« Si j’ai voulu me faire opérer, la raison principale était les douleurs que j’ai senti tout le temps. Et j’avais aussi très peu confiance en moi. ». Bien au-delà des clichés et de la sexualisation des seins, avoir une forte poitrine peut être difficile à vivre. Kelsey, une jeune Américaine, a effectué une réduction des seins dès qu’elle l’a pu : « Je me disais : quand j’aurai 18 ans, je crois que je veux vraiment faire ça, parce que ça va m’aider plus tard. » Et les résultats sont là : elle a moins de douleurs musculaires et elle se sent mieux dans sa peau.

« Je pense que j’ai toujours eu du mal à supporter d’avoir une grosse poitrine, surtout au lycée », confie la jeune femme laquelle précise avoir d’abord voulu se faire opérer à cause des douleurs. En plus de l’inconfort qu’elle subissait, Kelsey se sentait également mal dans sa peau. « À un moment donné, être la cible de tous ces regards, être un objet sexuel, être objective m’a mise mal à l’aise », ajoute-t-elle.